La difficulté de l’antienne n’est pas rythmique, mais intervallique : les voix intérieures
ont des mouvements peu intuitifs, qu’il convient de travailler, d’abord seul, puis avec la
polyphonie.
La voix de l’assemblée doit être tenue par le chantre soliste à l’ambon. La polyphonie lui répond en écho,
et peut-être exécutée soit par un chœur (si on en a un à disposition), soit par l’orgue.